« Les adolescent·es n’ont pas envie de parler à des adultes sur ce qu’ils ou elles font en ligne. C’est un truc de jeunes, en tant qu’adulte, on n’y comprend rien ». VRAI ou FAUX ?
VRAI ET FAUX !
En effet, les adolescent·es parlent peu des violences qu’ils et elles subissent : 1 sur 4 n’en avait jamais parlé avant l’enquête réalisée par le Centre Hubertine Auclert et l'OUIEP. Les filles en particulier n’en parlent qu’à leurs ami·es et plus rarement à des adultes, et encore plus rarement à leurs parents. Le plus souvent ils/elles ont honte, mais ils/elles peuvent aussi avoir peur de la réaction des adultes. Les adultes repèrent peu ces phénomènes, sauf lorsqu’ils ont déjà pris une forte ampleur. Pourtant, les violences en ligne et hors ligne sont très imbriquées, comme le rappelle l’enquête réalisée par le Centre Hubertine Auclert et l'OUIEP, les signaux n’échappent donc pas complétement au regard des adultes.
Afin d’encourager les adolescent·es à en parler, il faut développer un espace compréhensif propice au dialogue sur l’usage des nouvelles technologies, sur les risques et les moyens de se protéger, et sur les mécaniques sexistes de ces violences. Ne pas hésiter à poser des questions aux jeunes sur le fonctionnement des réseaux sociaux qu’ils/elles utilisent, cela constitue un bon départ de discussion.
VRAI ET FAUX !
En effet, les adolescent·es parlent peu des violences qu’ils et elles subissent : 1 sur 4 n’en avait jamais parlé avant l’enquête réalisée par le Centre Hubertine Auclert et l'OUIEP. Les filles en particulier n’en parlent qu’à leurs ami·es et plus rarement à des adultes, et encore plus rarement à leurs parents. Le plus souvent ils/elles ont honte, mais ils/elles peuvent aussi avoir peur de la réaction des adultes. Les adultes repèrent peu ces phénomènes, sauf lorsqu’ils ont déjà pris une forte ampleur. Pourtant, les violences en ligne et hors ligne sont très imbriquées, comme le rappelle l’enquête réalisée par le Centre Hubertine Auclert et l'OUIEP, les signaux n’échappent donc pas complétement au regard des adultes.
Afin d’encourager les adolescent·es à en parler, il faut développer un espace compréhensif propice au dialogue sur l’usage des nouvelles technologies, sur les risques et les moyens de se protéger, et sur les mécaniques sexistes de ces violences. Ne pas hésiter à poser des questions aux jeunes sur le fonctionnement des réseaux sociaux qu’ils/elles utilisent, cela constitue un bon départ de discussion.
Aller plus loin : pour encourager un usage responsable en ligne et engager la discussion les 5 bons réflexes à adopter en ligne .